5,7 millions de dollars pour nourrir Cuba après Irma

Titelbild
16 septembre 2017, M. David M. Beasley (c), directeur du programme PAM de l'ONU, avec des enfants à la Havane après le passage de la tornade Irma. (YAMIL LAGE/AFP/Getty Images)
Von 17 septembre 2017

Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies a annoncé samedi qu’il allait accorder une aide d’urgence de 5,7 millions de dollars à Cuba, très affecté par le passage de l’ouragan Irma.

Au cours d’une visite samedi à La Havane, le directeur exécutif du PAM David Beasley a annoncé l’octroi d’une aide immédiate de 1,5 million de dollars en aide alimentaire, dans le cadre d’un  » de quatre mois d’une valeur totale de 5,7 millions de dollars.

Le PAM « est au côté des victimes de l’ouragan Irma à Cuba et prêt à soutenir le gouvernement cubain dans ses efforts de redressement », a-t-il ajouté.

« L’opération débutera immédiatement avec la distribution gratuite de rations de riz et de haricots dans les zones prioritaires » à quelque 664.000 personnes, a indiqué par ailleurs un communiqué de cet organisme des Nations unies.

Le bilan des dommages causés par le passage d’Irma à Cuba il y a une semaine est encore en cours d’évaluation, mais ONG et agences onusiennes prédisent déjà des mois délicats pour l’île, qui aura besoin de l’aide internationale pour s’en sortir. L’ouragan a fait dix morts sur la grande île caribéenne, dont 13 des 15 provinces et été affectées.

« L’importance de la dévastation provoquée par Irma requiert que nous travaillions ensemble pour garantir un redressement immédiat et que la population puisse à nouveau disposer d’eau, d’aliments et d’un toit, et que l’économie puisse repartir », a ajouté M. Beasley.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion