Abandonné depuis au moins 10 jours dans une maison, ce jeune labrador est finalement sauvé par les gendarmes

Titelbild
Pixabay
Von 16 août 2019

Ce mardi 13 août au soir, les gendarmes de Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne) ont sauvé un labrador de 2 ans et demi, abandonné dans une maison à Presles-en-Brie ainsi que le rapporte Le Parisien.

Ce sont les voisins qui ont entendu les aboiements du chien et qui ont averti les gendarmes.

L’association de défense des animaux Stéphane Lamart a estimé que l’animal était livré à lui-même «depuis au moins dix jours». Les gendarmes ont pu pénétrer dans la maison en passant par la fenêtre de la salle de bain et ils ont découvert le chien dans un état d’extrême maigreur, ses côtes et sa colonne vertébrales étaient saillantes. Il était par ailleurs «complètement stressé, affolé», ainsi que l’explique Stéphane Lamart.

Une vidéo réalisée par l’association Stéphane Lamart a été postée sur Facebook et on peut ainsi visionner une séquence émouvante du sauvetage.

Les propriétaires de la maison auraient abandonné le chien suite à un déménagement. La pauvre bête a dû être attachée à la rambarde de l’escalier de la maison et c’est après avoir perdu du poids qu’il aurait alors pu se dégager de sa corde.

Stéphane Lamart explique : «Il a pu se libérer car il avait perdu beaucoup de poids au niveau du cou», tout en précisant qu’il a dû perdre au moins 5 kilos pour arriver à se défaire du lien. «Il a dû survivre en mangeant ce qu’il pouvait trouver et en buvant l’eau des toilettes», ajoute-t-il. Les gendarmes ont par ailleurs constaté que le sol était recouvert de déjections canines.

Le labrador a pu être confié aux bons soins du refuge de l’association Stéphane Lamart située à Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne). Ses jours ne sont pas en danger même si l’évaluation de son état de santé n’était pas très satisfaisant.

Le jeune chien a été rebaptisé Noddy.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion