Au Canada, un incendie déclenché par un poisson tombé du ciel

Titelbild
Capture d'écran Facebook Ashcroft Fire Rescue
Von 6 août 2025

Un poisson tombé du ciel, lâché par un rapace et qui a touché une ligne électrique, a provoqué la semaine dernière un feu de broussailles et une brève panne d’électricité dans l’ouest du Canada.

L’histoire à peine croyable, révélée par des pompiers de Colombie Britannique, fait les délices de la presse canadienne.

L’incident s’est produit jeudi dernier près de la municipalité d’Ashcroft quand les soldats du feu sont appelés pour un incendie en pleine nature.

« Une enquête rapide a permis de déterminer la cause de cet incendie : un poisson. Oui, vous lisez bien : un poisson à qui il est arrivé quelque chose d’incroyable! », s’amuse sur sa page Facebook le service des pompiers d’Ashcroft.

Tomber en plein vol sur une ligne électrique

D’après eux, un balbuzard pêcheur, une espèce de rapace, se serait emparé de sa proie dans une rivière à 3 km avant de la laisser tomber en plein vol sur une ligne électrique.

Le contact du poisson avec les fils électriques aurait alors provoqué une étincelle et de petites braises qui auraient elles-mêmes enflammé les broussailles et herbes sèches au sol.

Autre piste, spéculent les pompiers non sans humour : le rapace « en avait assez du poisson cru et voulait essayer le poisson grillé ». Leurs photos montrent effectivement le poisson mort à terre, la carcasse brûlée.

Le balbuzard pêcheur s’en est sorti indemne et a poursuivi son vol, plaisantent encore les pompiers. Ils se félicitent plus sérieusement que l’absence de vent la semaine dernière ait permis de maîtriser rapidement cet incendie complètement insolite dans l’Ouest canadien, régulièrement la proie, l’été, d’importants feux de forêt.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion