Avec Shen Yun, une chef d’entreprise retrouve la « vraie culture chinoise, à laquelle on n’a pas accès en Chine aujourd’hui »
PARIS – Vendredi 6 avril, après avoir joué à guichet fermé à Nice et Nantes, la compagnie Shen Yun a offert sa première représentation à Paris, au Palais des Congrès de la Porte Maillot. Les aléas de la grève SNCF semblent n’avoir découragé aucun des amoureux de la culture qui voulaient découvrir l’héritage chinois : une nouvelle fois Shen Yun a fait salle comble.
À l’entracte, Mme Christine Claverie, ancienne présidente d’une entreprise de cosmétiques très active à l’export en Asie, nous fait part de ses impressions : « La danse est très technique, très belle, et très impressionnante », explique-t-elle, et « il y a des allégories divines qu’on comprend assez bien. »
Il est important, trouve-t-elle, pour chaque pays de préserver le patrimoine de sa culture et ses valeurs spirituelles. « J’ai une grande admiration », indique Mme Claverie, « pour cette culture et ce raffinement de la culture chinoise qu’on ne retrouve plus du tout aujourd’hui dans la population actuelle, en Chine. »
Surprise que ce soit à Paris qu’elle ait pu redécouvrir cette ancienne civilisation, elle commente : « Je suis très impressionnée de retrouver cette vraie culture chinoise, car on n’y a pas du tout accès quand on va en Chine aujourd’hui – je trouve cela très bien de le faire, et très courageux. J’espère que Shen Yun fera des émules et que progressivement la Chine reviendra peut-être à cette ancienne culture. »
Shen Yun se produira encore à Paris le samedi 7 avril. La compagnie sera de retour pour un grand final parisien du 4 au 6 mai prochains, avant de conclure sa tournée française à Aix-en-Provence, où les réservations sont déjà fermées.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion