Une baleine retrouvée morte sur une plage de Seine-Maritime
Mercredi 19 avril, sur la plage de Saint-Valery-en-Caux en Seine-Maritime, une baleine a été retrouvée échouée. Malheureusement, cette dernière est également décédée.
Ce mercredi, la municipalité de Saint-Valery-en-Caux a pris un arrêté pour fermer la plage afin que personne ne s’en approche. En cause, la découverte d’une baleine d’une quinzaine de mètres de long, retrouvée échouée, a rapporté la mairie sur son site.
Plus précisément, il s’agit d’un rorqual commun. Une triste découverte d’autant que ce cétacé est décédé. Depuis, des autorités vétérinaires et sanitaires ont commencé à réaliser des prélèvements, a rapporté France Bleu. Le but est de tenter de comprendre les causes ayant amené ce rorqual commun sur cette plage.
Selon le maire, qui est en lien avec la préfecture pour décider de la suite des opérations, le corps du cétacé s’est depuis entassé dans le sable, ce qui complique la situation, a rapporté BFMTV.
Seine-Maritime: une baleine échouée retrouvée morte sur la plage de Saint-Valery-en-Caux https://t.co/bPQv4AHVMy pic.twitter.com/sP6IF2Uu7w
— BFMTV (@BFMTV) April 19, 2023
« Ce qui est important, c’est de connaître la cause de la mort de l’animal, on est sur une phase d’enquête. (…) On fait des prélèvements. Est-ce que c’est un empoisonnement ou une blessure ? Pourquoi cet animal arrive ici dans nos eaux ? C’est vraiment une énigme mais aussi un spectacle malheureux », a confié Benjamin Gorgibus, maire adjoint à Saint-Valery-en-Caux.
Il s’agit d’une première pour la commune. Bien que pour Marc Giraud, porte-parole de l’association pour la protection des animaux sauvages, ce phénomène est de « plus en plus fréquent » à l’échelle de la France.
« Il y a les collisions avec les grands bateaux et les bateaux rapides. Il y a les pollutions sonores parce que les cétacés fonctionnent au sonar. Il y a les pollutions chimiques, il y en a aussi qui sont affamés. Il y a tellement de raisons qu’aujourd’hui ça devient un phénomène quasiment quotidien, avec les dauphins et les baleines en général. On est inquiets », a conclu Marc Giraud.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion