Blocage des universités : le coût des dégradations grimpe à 7 millions d’euros
Interrogée sur RTL lundi dernier, Frédérique Vidal – ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation – a revu à la hausse le coût des dégradations commises sur les campus pendant la mobilisation de certains étudiants contre la réforme de l’université.
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[/epoch_video]Le 13 août, Frédérique Vidal annonçait sur RTL que le coût des réparations à entreprendre sur les campus saccagés pendant les blocages des universités avait été sous-évalué.
D’abord estimés à 1 million d’euros en avril, les dégâts avaient été revus à la hausse une première fois au mois de juin pour atteindre 5 millions d’euros.
Une somme qui vient d’augmenter de 40 % et s’élève désormais à 7 millions d’euros selon la ministre de l’Enseignement supérieur – qui aurait « vraiment préféré que cet argent permette de mettre en place de nouvelles pratiques pédagogiques ou des recrutements ».
Georges Haddad, président de l’Université Paris 1 sur Tolbiac : « Les dégradations sont énormes » pic.twitter.com/VABhMz1WNL
— CNEWS (@CNEWS) 20 avril 2018
Selon madame Vidal, qui déplore un phénomène inédit et « tout à fait atypique », ces dégradations coûteuses seraient le « résultat de quelques dizaines d’extrémistes ».
« On a connu des occupations de bâtiments, on a connu des assemblées générales, on n’avait jamais vu des gens venir casser dans les universités », a-t-elle ajouté dans la matinale de RTL.
La ministre a affirmé qu’elle s’était « engagée auprès des présidents d’universités, de manière à ce que les bâtiments puissent être remis en l’état et remis en fonctionnement pour que la rentrée se déroule bien ».
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