Bloomberg lance un service payant pour particulier
Bloomberg a annoncé le lancement d’une offre payante destinée aux particuliers, un virage pour le groupe dont le modèle était entièrement construit sur le service aux professionnels.
L’entreprise fondée en 1981 par Michael Bloomberg a bâti son succès sur ses terminaux, qui proposent des informations financières en temps réel aux professionnels. En 1990, le groupe a élargi son offre en créant Bloomberg Business News, devenant une agence de presse, avec une présence aujourd’hui mondiale, toujours selon un modèle orienté vers les entreprises et les clients professionnels. Il a également lancé une chaîne de télévision, une radio et racheté, en 2009, le magazine BusinessWeek.
Avec l’émergence d’internet, Bloomberg a développé un site et des applications permettant aux particuliers d’accéder gratuitement à une partie de l’information produite par son agence de presse, à l’instar d’autres agences majeures comme l’Associated Press, Reuters et l’AFP.
Mercredi 2 mai , le groupe a annoncé le lancement d’une offre payante destinée aux particuliers, qui comprendra notamment, moyennant 34,99 dollars mensuels, un accès aux applications mobiles, au site Bloomberg.com, à la chaîne Bloomberg TV.
Plus aucune application ne sera totalement gratuite, mais Bloomberg permet néanmoins encore l’accès à 10 articles gratuits par mois, seuil au-delà duquel l’abonnement payant sera nécessaire.
Le groupe estime produire « du contenu éditoriale dont nous pensons qu’il mérite que l’on paye pour y accéder », ont expliqué Justin Smith, le directeur général de Bloomberg Media Group, la branche médias, et John Micklethwait, rédacteur en chef de Bloomberg, dans une lettre destinée mercredi aux employés du groupe mais rendue publique.
HS avec AFP
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion