Charente : une centaine de tombes vandalisées dans un cimetière de la ville de Cognac

Titelbild
(Flickr)
Von 30 octobre 2019

A l’approche de la Toussaint, la fête des défunts, un acte de vandalisme a eu lieu dans un cimetière de Cognac (Charente) dans la nuit de mardi à mercredi. Ce sont des employés d’une société de livraison de fleurs qui, à 8h30, ont fait cette sinistre découverte. Ils ont alerté Christian Raso, le responsable du cimetière du Breuil qui a aussitôt averti la mairie et la police municipale, ainsi que relaté dans le quotidien La Charente Libre.

Ce n’est pas moins d’une centaine de tombes qui ont été saccagées. Des symboles religieux et notamment des crucifix jonchaient les allées, d’autres étaient renversés la tête en bas, certains étaient cassés.

«En vingt et un an, je n’ai jamais vu ça», précise le responsable du cimetière. Quant au maire de Cognac, Michel Gourinchas, il s’interroge : «Je ne sais pas ce que cela veut dire à deux jours de la Toussaint et dans la suite de l’affaire de Bayonne. J’espère que ça n’a rien à voir avec ça.» Il déclare encore : «Quoi qu’il en soit et qui que ce soit, c’est tout simplement une honte».

La police technique et scientifique s’est rendue sur place. Les voisins ont été interrogés. Par ailleurs, elle convie toute personne pouvant apporter des éléments à se rapprocher du commissariat afin de faire avancer l’enquête en cours.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion