Le couple de Saint-Louis qui a brandi des armes à feu dit avoir été victime de terrorisme

Titelbild
Capture d'écran vidéo Epoch Times
Von 5 juillet 2020

Un couple de Saint-Louis qui a été vu brandissant ses armes dans des vidéos qui sont depuis devenues virales a déclaré qu’il était victime de terrorisme.

Lors d’une interview avec Chris Cuomo de CNN, Mark McCloskey, le propriétaire de la maison de Saint-Louis, a déclaré que sa vie avait été ruinée après que la vidéo de lui et de sa femme défendant leur domicile avec leurs armes est devenue virale en ligne.

An dieser Stelle wird ein Video von Youtube angezeigt. Bitte akzeptieren Sie mit einem Klick auf den folgenden Button die Marketing-Cookies, um das Video anzusehen.

« Ils venaient vers nous jusqu’à ce que je montre mon arme, et c’est ce qui les a arrêtés », a déclaré M. McCloskey, ajoutant qu’il craignait pour sa vie et qu’il a pris son arme après que le grand groupe de manifestants a marché dans leur rue privée.

Il a ajouté que les émeutes du 2 juin à Saint-Louis vues à la télévision nationale pendant plus de 40 minutes, où des bâtiments ont été brûlés et pillés avant que la police ou les secours n’arrivent, lui ont fait croire que lui et sa famille étaient en danger.

M. McCloskey a également décrit l’incident comme une « intimidation sociale », et qu’il a été victime de terrorisme.

« Quelle est la définition du terrorisme ? Utiliser la violation et l’intimidation pour effrayer le public. C’est ce qui s’est passé ce soir-là, c’est ce qui m’est arrivé – les dommages que j’ai subis », a déclaré M. McCloskey lorsqu’on lui a demandé si quelque chose lui était arrivé, à lui et à sa famille, pendant l’interview.

« Toute prétention de manifestation, par opposition au terrorisme, a pris fin lorsqu’ils ont franchi cette porte », a déclaré M. McCloskey, en référence à la porte qui sépare la communauté privée où il vit de la propriété publique.

M. McCloskey a déclaré qu’il se préparait à dîner avec sa famille lorsqu’ils ont entendu l’agitation venant de l’extérieur. Les manifestants ont ouvert les grilles, qui portent des panneaux indiquant « rue privée » et « pas d’intrusion », et sont entrés sur la propriété, selon la vidéo de l’événement.

L’incident s’est produit alors que les manifestants se dirigeaient vers la maison du maire démocrate de Saint-Louis, Lyda Krewson, pour lui demander de démissionner après avoir lu les noms et adresses des activistes qui ont appelé à couper les vivres au service de police de la ville.

Cependant, Mark McCloskey a déclaré à Chris Cuomo que la maison du maire n’était pas accessible par le quartier sécurisé. Il a ajouté que la foule passait par là avec l’intention de faire le plus de grabuge possible. M. McCloskey a également déclaré que, bien qu’il ne le savait pas à l’époque, le groupe qui a organisé cette manifestation s’appelle « Expect Us » (attendez-vous à nous trouver) et qu’avant la manifestation, le groupe a publié un post disant que le but n’est pas d’avoir une manifestation pacifique, mais de la rendre aussi perturbatrice que possible.

Le saviez-vous ?

Epoch Times est un média indépendant, différent des autres organisations médiatiques. Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique. Notre objectif est d’apporter à nos lecteurs des informations factuelles et précises, en étant responsables envers notre lectorat. Nous n’avons d’autre intention que celle d’informer nos lecteurs et de les laisser se faire leur propre opinion, en utilisant comme ligne directrice les principes de vérité et de tradition.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion