Creuse: l’ancienne maison de Johnny Hallyday et Nathalie Baye, un «paradis sur terre» à l’abandon

La maison ayant appartenu à Nathalie Baye et Johnny Hallyday, dans la Creuse, est totalement à l’abandon. Une voisine, mitoyenne de la bâtisse, se désole de cette situation.

L’actrice, qui avait vécu dans cette bâtisse avec le rockeur dans les années 80, l’a revendue à des Sud-Africains. Située sur la commune de Vallière, aux pieds du plateau de Millevaches, la maison est désespérément vide.

« La dernière fois que Nathalie est venue, elle en pleurait »

N’étant pas entretenue, la maison ayant jadis abrité les amours de Nathalie Baye et Johnny Hallyday durant trois années se délabre. Le lierre, lui, y a pris ses aises, rapporte le magazine Capital.

« C’est dommage de voir dans l’état que c’est ici », regrette une ancienne voisine du couple mythique auprès de La Montagne. « La dernière fois que Nathalie est venue, elle en pleurait. Si elle regrette d’avoir vendu ? Je n’en sais rien. Mais depuis, elle m’a toujours écrit pour les fêtes… sauf cette année », mentionne-t-elle. « Le poids des souvenirs était peut-être trop lourd à porter pour moi. Quand je rends visite à mes amis dans la Creuse, je ne peux m’empêcher de retourner voir ma maison », avait expliqué en août 2022 la comédienne au Journal du Dimanche, qualifiant cet endroit de « paradis sur terre ».

Les actuels propriétaires n’y ont jamais mis les pieds

Nathalie Baye et Johnny Hallyday s’étaient rencontrés sur un plateau de télévision, en 1982. De cette histoire d’amour est née Laura, le 15 novembre 1983. Le rockeur avait confié à France 3 Nouvelle-Aquitaine dans un reportage diffusé en 2017, que la Creuse où il venait passer des vacances était pour lui « un endroit qui n’est pas surfait, où l’on peut vivre plus ou moins libre et faire de la moto ».

Les actuels propriétaires, des Sud-Africains qui ont acheté la maison une fortune, n’ont jamais mis les pieds dedans. Ils l’ont acquis pour la somme de 600.000€, un prix surestimé comparé aux tarifs de l’immobilier pratiqués dans cette région. L’agence ayant réalisé la transaction a expliqué à nos confrères qu’il y a quelques années, ils ont tenté de la revendre au prix d’achat, mais « n’ont jamais pu trouver preneur ».