Deezer: plus que 2 jours pour bénéficier de son offre musicale illimitée à 0,99 euros

À tous les fans et adeptes de musique en tous genres, à ceux qui n’ont pas encore passé le pas ou qui n’ont pas vu l’information, il ne vous reste que 2 jours pour découvrir l’offre estivale de la plateforme de streaming musical Deezer. Jusqu’au 1er juillet, Deezer propose une offre de lancement sans engagement pour les 3 mois d’été à 0,99 euros, avec à la clé l’accès à des milliers d’heures de musique en illimitée.

Jusqu’à la fin du mois de juin, les internautes peuvent encore s’abonner sans engagement au Deezer Premium+, au prix de 0,99 euros jusqu’à la fin août, plutôt que 9,99 euros habituellement. L’offre de la plateforme musicale a aussi pour but de faire découvrir son offre de musique en ligne, en jouant sur la «passionista» des accros à la musique pour faire de la publicité sur le service ensuite à plein tarif.

Il s’agit également pour Deezer de s’aligner avec les offres de streaming musical  – également agressives – venant de ses concurrents directs: Apple Music ou Spotify.

Apple Music propose par exemple depuis juin un forfait avec trois mois gratuits (alors que Deezer ne proposait que 15 jours) pour un prix final identique de 9,99 euros par mois.

Spotify est également gratuit comme Deezer, dans un format avec des plages publicitaires entre un certain nombre de titre. Son offre Spotify Premium peut être également essayé pendant trois mois au prix de 0,99 euros par mois.

LIRE AUSSI  :

• L’économie du web créerait beaucoup moins d’emplois qu’elle n’en remplacerait
• Paris est-il vraiment au centre de l’économie solidaire ?

En terme de volume de musique, Deezer est encore le premier avec 35 millions de titres disponibles, alors que Spotify et Apple Music n’en ont « que 30 millions ». Des chiffres équivalents vus leur ordre de grandeur, pour les internautes tellement l’offre musicale de ces 3 plateformes est complète, et peu répondre à la fois aux affinités et goûts de chacun, à la fois faire découvrir un ensemble de nouveaux albums, artistes, et chansons que l’on aurait pas découvert sinon.

Un bémol tout de même pour l’industrie traditionnelle du disque qui doit adapter son offre à ce nouveau mode consommation de la musique, avec des magasins physiques restant nécessaires pour rencontrer des conseillers, dénicher des musiques que l’on n’aurait pas pu trouver seul par ailleurs et faire vivre l’industrie musicale dans son ensemble.