Deux rorquals échoués en deux jours en Seine-Maritime
Un rorqual d’environ trois mètres s’est échoué jeudi sur une plage en Seine-Maritime, au lendemain de l’échouage d’un autre cétacé d’une vingtaine de mètres sur une autre plage à quelques kilomètres, a-t-on appris de sources concordantes.
Le jeune rorqual a été découvert mort jeudi sur une plage de Veules-les-Roses, a précisé la mairie de cette commune à un correspondant de l’AFP. « Une opération est préparée parallèlement par les services de l’État en lien avec les différents partenaires, publics et privés, afin d’assurer son retrait, dès lors que les conditions seront réunies », a indiqué la préfecture de Seine-Maritime dans un communiqué transmis jeudi soir.
La veille, un cétacé de 19 mètres de long et d’environ 30 tonnes s’était échoué sur la plage de Saint-Valery-en-Caux, distante de sept kilomètres de Veules-les-Roses, selon un communiqué de la préfecture.
Dérive d’une carcasse de cétacé dans la Manche
Retrouvez notre communiqué de presse⤵️ pic.twitter.com/grqmsdACVW
— Préfet de Normandie et de la Seine-Maritime (@Prefet76) April 20, 2023
« L’animal de l’espèce rorqual commun est malheureusement décédé », selon un communiqué de la maire de Saint-Valery-en-Caux, qui a publié un arrêté pour fermer la plage au public.
Un remorquage trop dangereux
Dans son communiqué, la préfecture a indiqué que l’opération de remorquage du cétacé était « apparue particulièrement dangereuse » en raison de sa taille, de la période de grandes marées ainsi que des difficultés de navigation liées à la météo. « Dans ces conditions, la carcasse, qui a été localisée, fera l’objet d’un suivi régulier de sa position ainsi que d’un avis urgent aux navigateurs, afin de prévenir les dangers de collision », selon la même source.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion