Disparition d’une jeune fille en Meuse: une information judiciaire vient d’être ouverte

Titelbild
Il s'agissait d'une disparition volontaire. (Capture d'écran/Facebook)
Von 16 février 2024

Le parquet de Bar-le-Duc a annoncé vendredi procéder à l’ouverture d’une information judiciaire, pour « recherche des causes de la disparition » de Lucie,16 ans, survenue le 4 février à Vavaincourt (Meuse).

Une enquête préliminaire, menée par le parquet, avait déjà été ouverte rapidement après le signalement, par ses parents, de la disparition de la jeune fille. C’est désormais un juge d’instruction qui mènera les investigations.

Depuis le début des recherches, « une trentaine d’auditions ont été réalisées, une dizaine de visites domiciliaires engagées et l’ensemble des vidéosurveillances se trouvant sur les itinéraires possiblement empruntés par Lucie ont été exploitées », indique Sofian Saboulard, procureur de la République de Bar-le-Duc, dans un communiqué. « Un groupe d’enquête est constitué et dédié exclusivement à la recherche de Lucie et des causes de sa disparition », a-t-il précisé.

Quelques jours après la disparition, la mère de la jeune fille avait reçu un courrier, posté le 7 février, qui portait notamment la mention suivante : « maman c’est Lucie, je vais bien et je suis en sécurité (…) je reviens bientôt ». Les premières analyses d’un graphologue ont relevé « d’importantes concordances entre l’écriture de Lucie et les formes et caractéristiques générales du courrier ». Une analyse « plus approfondie » est en cours, indique le parquet.

« Aucune piste n’est écartée. Les investigations se poursuivent et se poursuivront avec intensité », assure Sofiane Saboulard. Elles ont été confiées à la Brigade de recherches de Commercy.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion