Edouard Baer, « remède anti-déprime » sur France Inter à la rentrée

Titelbild
(Photo : Pascal Le Segretain/Getty Images)
Von 13 juillet 2018

Après deux saisons de matinale sur Radio Nova, Edouard Baer rejoindra France Inter à partir du 2 septembre pour animer une émission dominicale, a indiqué la station à l’Agence France Presse (AFP) confirmant une information du Parisien mercredi. 

Qualifiant le comédien et réalisateur de « génie de la digression » et de « remède anti-déprime », France Inter précise, dans un communiqué, qu’il prendra l’antenne chaque dimanche à 22h00 en direct et en public.

Ce grand improvisateur et orateur  offrira de la joie et une bouffée d’oxygène aux auditeurs. Il accueillera aussi des personnalités, des anonymes, gens de la rue ou des amis.

An dieser Stelle wird ein Video von Youmaker angezeigt. Bitte akzeptieren Sie mit einem Klick auf den folgenden Button die Marketing-Cookies, um das Video anzusehen.

« Adieu le spleen du dimanche soir ! », promet France inter, ajoutant qu’ Edouard Baer animera sa nouvelle émission depuis le Belair, bar installé dans la Maison de la Radio, ainsi que dans des cafés en région.

Le nouveau rendez-vous du dimanche soir anti-déprime et rempli d’imprévus : à vivre et suivre sur France Inter et franceinter.fr à partir du dimanche 2 septembre 2018 à 22h.

Edouard Baer est aussi comédien. De la figuration dans La Révolution française de Robert Enrico au rôle titre de Encore heureux de Benoît Graffin, il est apparu dans une cinquantaine de film.

Réalisateur. Il est à ce jour réalisé trois long métrage : La bostella (1999), Akoibon (2005) et Ouvert la nuit (2017)

Scénariste et auteur de théâtre : La folie et véritable vie de Luigi Prizzoti (2006) ou Looking for Mr Castang (2008)

Homme de télé, mais aussi de radio, il sévit sur les ondes d’ici et d’ailleurs depuis 25 ans.

D. S avec AFP

 

 



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion