Elle fait une coupe et un brushing puis quitte sans payer, la gérante publie ses photos sur Facebook

Titelbild
Illustration (Pixabay)
Von 10 décembre 2020

Dans un salon de coiffure à Metz, une jeune femme s’est offerte ce mercredi matin une coupe et un brushing, puis est partie sans payer. Pour la retrouver, la gérante mécontente du salon de coiffure Design Room a publié les photos issues des caméras de surveillance sur Facebook – ce qui est par ailleurs interdit par la loi. La gérante a finalement décidé de porter plainte, a rapporté Lorraine actu.

Alors que les salons de coiffure ont rouvert leurs établissements depuis une semaine, dans le cadre d’une diminution des restrictions du confinement en France, une cliente a semble-t-il eu envie de se faire coiffer sans payer. Les faits ont eu lieu ce mercredi 9 décembre. « C’est la troisième fois que ça arrive en 18 ans de métier », a raconté la gérante du salon de coiffure Design Room à Metz (Moselle).

L’intrigue

Une jeune cliente, très « charmante » d’ailleurs, selon les témoignages de l’une des employés, a franchi le seuil de l’établissement et a demandé une coupe de cheveux et un brushing. La somme d’une telle prestation atteint d’habitude une cinquantaine d’euros.

Très contente de sa coupe, la jeune charmante a trouvé une bonne excuse pour quitter le salon sans payer. Elle a prétendu aller tirer de l’argent afin de régler le service. Pour inspirer confiance, elle a laissé son sac à main, mais le sac contenait… un bout de carton.

Déjà à l’heure de la prise de rendez-vous, au téléphone, la patronne a remarqué qu’il y avait quelque chose qui clochait chez la cliente. Elle avait un « comportement assez particulier », selon les propriétaires des lieux, qui poursuivent : « Elle n’a pas voulu donner son numéro, prétextant qu’elle n’avait pas de téléphone portable en ce moment. Sur le coup, on se dit que c’est quand même étrange, on est en 2020… » La gérante a fini par prendre le rendez-vous

D’ailleurs, au moment de la coupe, tout s’est bien passé et ni la patronne du salon ni l’employée n’ont soupçonné quoi que ce soit. « J’ai vraiment du mal à comprendre comment on peut arnaquer d’autres personnes volontairement », a déploré la gérante de Design Room.

Le dénouement

Outrée par le comportement de cette cliente, elle a demandé conseil à un ami, coiffeur, lui aussi. Celui-ci lui a raconté qu’il avait eu un cas pareil et que lui, il a publié les images du malfrat sur les réseaux sociaux. L’opération a donné ses fruits car en effet, c’est ainsi que la personne a été retrouvée. La coiffeuse a donc décidé de faire pareil. Mais, petit problème : la loi interdit une telle diffusion d’images.
« C’est quand même dingue de se dire que la loi permet aux gens de voler et de partir, puisque l’on ne peut pas diffuser les images de nos caméras. La loi est clairement pour eux. On en a marre, on ne peut plus se laisser faire », a-t-elle dit, désespérée.
La patronne de Design Room a décidé de porter plainte.

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