Ils étaient partis pour 6 mois – 18 ans et 4 enfants plus tard, leur voyage continue encore !

Titelbild
Von 28 août 2018

L’histoire de la famille Zapp nous prouve que chacun peut réaliser ses rêves. Au bout de 6 mois de voyage, un couple argentin, Candelaria et Herman n’avait plus d’argent mais ils n’avaient surtout pas envie que le voyage finisse. Qu’à cela ne tienne : ils ont trouvé des moyens de le continuer pendant encore 17 ans et demi. Et ce n’est pas terminé !

[epoch_video navurl= » »][/epoch_video]

Au départ, ils devaient partir sac au dos vers l’Alaska. On leur a donné une voiture, un cadeau qu’ils ne pensaient pas accepter jusqu’à ce que Herman la voie et en tombe amoureux. Il s’agissait d’une berline de 1928, une Graham-Paige bleu nuit. Une folie, et pourtant !

Facebook/Familia Zapp Family

Dès la première journée de voyage, ils sont tombés en panne mais ils ont aussi rencontré leurs premiers anges : trois frères charpentiers qui ont réglé leur problème de roue et montré comment faire si cela arrivait à nouveau. Et surtout, ils ne leur ont rien fait payer, afin de faire partie du rêve du jeune couple.

Aujourd’hui, leur voyage continue toujours… 18 ans plus tard ! Ils ont eu 4 enfants en cours de route – nés aux États-Unis, en Argentine, au Canada et en Australie – et parcouru 385 000 km sur 5 continents.

Facebook/Familia Zapp Family

Maintenant qu’ils ont parcouru environ 95 % de leur parcours de rêve, ils pensent rentrer au pays d’ici un an, et traverser l’Atlantique sur un voilier… avec leur voiture dessus bien sûr.

Vous avez apprécié cet article ? Partagez-le avec vos amis et laissez-nous vos commentaires.

L’aventurière fauchée – elle fait le tour du monde sans un sou

[epoch_video navurl= » »][/epoch_video]



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion