Face à la canicule, Marine Le Pen et Eric Ciotti appellent à un plan national de climatisation

Titelbild
(JULIE SEBADELHA/AFP via Getty Images)
Von 1 juillet 2025

En plein épisode de canicule dans l’Hexagone, la cheffe de file du Rassemblement National, Marine Le Pen, a réclamé lundi « un grand plan pour la climatisation », relayé par son allié Eric Ciotti qui souhaite équiper en priorité « écoles, hôpitaux et maisons de retraite ».

« Il est grand temps que la France déploie un grand plan d’équipement pour la climatisation. Je le lancerai dès notre arrivée au pouvoir », a affirmé Mme Le Pen sur les réseaux sociaux.

Alors que 84 départements sont en vigilance orange canicule lundi, et que 16 doivent basculer en vigilance rouge mardi, la patronne du RN a déploré que « les services publics ne (soient) pas capables de fonctionner faute de climatisation, contrairement à des dizaines de pays dans le monde ».

La leader de l’opposition nationaliste a également fustigé l’action du gouvernement, qui selon elle « marche encore sur la tête » en demandant « à des familles d’arrêter de travailler du jour au lendemain car les écoles ne peuvent plus accueillir nos bambins, tout en leur conseillant d’aller au cinéma du coin qui lui, est climatisé ».

Une « nécessité vitale » pour les écoles, hôpitaux et maisons de retraite

En retour, la patronne des Écologistes Marine Tondelier a elle ironisé sur « le programme écologique de Marine Le Pen » qui se bornerait selon elle à « acheter des climatiseurs ».

De son côté, M. Ciotti a pareillement appelé à « un plan national de climatisation des écoles, hôpitaux et maisons de retraite », qu’il a qualifié de « nécessité vitale ». « Face aux vagues de chaleur de plus en plus fréquentes et intenses, il est urgent d’agir pour protéger les Français, en particulier les plus vulnérables », a insisté le président de l’Union des droites pour la République.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion