Fin des blocages d’une bioraffinerie de TotalEnergies et de terminaux pétroliers près de Marseille
Les blocages de la bioraffinerie marseillaise de La Mède, détenue par TotalEnergies, et de terminaux pétroliers du grand Port maritime de Marseille détenus par Fluxel ont été levés vendredi, selon une source syndicale et la direction de TotalEnergies.
La Mède produit de petits volumes de biodiesel et autres biocarburants. TotalEnergies a trois raffineries conventionnelles ailleurs dans le pays (Normandie et Donges sont à l’arrêt, Feyzin est en service). « Le quart du matin sur la plateforme de La Mède a voté non gréviste donc les manœuvres de préparation au redémarrage de la raffinerie peuvent reprendre ainsi que les expéditions de carburants », a indiqué une source syndicale à l’AFP.
« Beaucoup de rancœur et d’amertume »
La direction souligne de son côté que le mouvement social a été levé à 04h00, permettant ainsi la « reprise des expéditions et le lancement du démarrage des installations de la bioraffinerie ».
Chez Fluxel, qui gère des terminaux pétroliers du grand Port maritime de Marseille, « le mouvement a été levé hier (jeudi) soir », selon la source syndicale. « Il risque d’y avoir encore des appels à des manifestations mais on va vers une levée du mouvement reconductible de grève, il y a une part de fatalisme et de découragement face à l’inflexibilité gouvernementale, pas d’acceptation mais beaucoup de rancœur et d’amertume qui laisseront des traces », a commenté cette source.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion