Quant à ceux qui sont « contre » – je m’y inclus – ils peuvent répondre en regrettant qu’il n’y ait pas eu un débat honnête et ouvert permettant à chacun de s’exprimer.
Des affirmations telles que « vous ne l’avez pas lu », « vous êtes homophobes », ou « ce n’est qu’une minorité de petits bigots » sont totalement fausses et n’aident pas beaucoup dans la discussion. Bien sûr, toute personne saine d’esprit veut protéger nos enfants, mais la foi et les valeurs morales doivent être respectées car elles sont étroitement liées à ce sujet et ne peuvent en être séparées.
D’après les médias canadiens, 4 000 questionnaires ont été envoyés aux familles, dont seulement 1 600 ont répondu. Il est difficile de considérer que cela représente l’opinion des habitants de l’Ontario, ni que la consultation publique soit suffisante.
Si les « pour » n’ont rien à craindre et sont convaincus de la justesse de leur opinion, pourquoi craignent-ils l’organisation de débats dans les villes et villages de la province et l’expression de l’opinion des parents ?
Ma dernière pensée est que, pour des sujets si étroitement liés à la foi et à la morale personnelle, les parents doivent avoir le dernier mot, pas les écoles ni les États dans leur campagne de remodelage social.
David Hazell
Mississauga, Ontario
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de son auteur et ne représentent pas nécessairement l’opinion de Epoch Times.
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