Une institutrice porte son élève handicapé pour qu’il participe à une épreuve d’éducation physique
Une institutrice a donné un exemple d’inclusion en Argentine lorsqu’elle a décidé de porter un petit garçon handicapé, âgé de de 4 ans, lors d’une épreuve d’éducation physique à laquelle tous ses camarades de classe participaient.
L’image de Debora Romero portant dans ses bras un Juan Bautista souriant est rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux grâce à l’exemple d’inclusion donné par l’enseignante argentine. La scène émouvante a été capturée dans la ville de Las Palmitas, à Icaño, dans la province de Catamarca, pendant la démonstration annuelle d’éducation physique, selon La Nación.
« Je suis très fière d’être sa formatrice. Il était très heureux lors de l’épreuve, il voulait communiquer avec ses pairs, c’est très beau et gratifiant. Bauti, du haut de ses 4 ans, est un grand exemple de vie », a déclaré l’institutrice au quotidien local El Ancasti. « Cela m’a fait beaucoup de bien d’obtenir ce sourire ce jour-là, parce qu’il n’avait exprimé aucune émotion. Nous avons tous été surpris de voir son bonheur à chaque fois qu’il faisait les exercices », ajoute-t-elle.
Catamarca: una docente llevó a su alumno con discapacidad en brazos para que participara de una muestra de educación física https://t.co/xWpThvX6Jz pic.twitter.com/eHE4V25Qq5
— LA NACION (@LANACION) 11 novembre 2019
Selon Debora, le garçon avait déjà participé au mois de l’activité physique, mais cette fois il a surpris tout le monde avec un bonheur qui est devenu viral.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion