«Je me relève doucement»: Amir donne de ses nouvelles, un mois après le décès de sa mère
Il y a un mois, le chanteur annonçait la disparition de sa mère, Carmi Haddad. Ce mardi 23 mai, le chanteur est sorti d’un long silence pour donner de ses nouvelles.
Il a vécu une période difficile. Le 22 avril dernier, le chanteur Amir annonçait sur les réseaux sociaux le décès de sa maman, Carmi Haddad. « Maman chérie, être ton enfant, c’est grandir heureux. Aimé, abrité, soutenu, et fort devant tout. Enfin tout… Sauf cet énorme vide depuis ton départ. Je t’aime maman, merci pour ce que tu as été et laisseras dans nos cœurs incrédules, un diamant, une étoile filante », écrivait-il. L’artiste – qui avait effacé toutes ses publications antérieures à la triste nouvelle – s’était ensuite muré dans le silence afin de se recueillir auprès de ses proches.
Ce mardi, le chanteur révélé par « The Voice » a enfin donné de ses nouvelles dans une publication émouvante, rapporte TF1 Info. « Je sors d’un triste mois, un mois de réflexion, de doutes et de larmes. Un mois pour guérir un peu et se faire, en famille, à cette nouvelle réalité… La réalité du manque », a confié Amir en légende d’une photo d’un cœur brisé, en train d’être recousu.
Voir cette publication sur Instagram
« Cette blessure fera éternellement partie de moi »
« Là, je me relève doucement, fort de l’immense soutien que vous m’avez offert par vos messages, vos courriers, et aujourd’hui par-dessus tout, je voudrais exaucer sa volonté tenace de nous voir continuer de vivre à fond », déclare le papa de deux garçons, Mikhaël, 3 ans, et Or, né le 4 juillet dernier, de son union avec Lital. « Cette blessure fera éternellement partie de moi, tout comme maman, tout comme vous. Et c’est ma façon d’être entier », ajoute Amir qui tient à remercier ses fans de l’avoir soutenu et respecté durant ce deuil.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion