« Je voudrais être Benalla ou un moine pédophile », tweete Booba en prison

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(SEBASTIEN BOZON/AFP/Getty Images)
Von 21 août 2018

Mardi, un message a été posté sur le compte Twitter de Booba. Le rappeur, actuellement en prison à Fleury-Mérogis pour sa bagarre avec Kaaris, a twitté : « Quand je serai grand, je voudrais être Benalla ou moine pédophile. 10 ans pour une bagarre, c’est avec ou sans le streaming ? », a-t-il posté avec le hashtag« #uneépoqueformidable ».

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C’est lors de son coup de fil quotidien qu’il aurait demandé à sa manageuse de poster le texte sur le réseau social. Une démarche tout à fait légale, d’après Yann Lebras, avocat de Booba. « Booba a désormais accès, comme beaucoup de détenus, à la cabine téléphonique. C’est un droit (…) Il a été en contact ce matin avec sa manageure et ils ont validé ensemble que celle-ci puisse envoyer ce tweet, a expliqué à BFMTV Yann Lebras.

Pour Yann Lebras, il s’agit d’« humour décalé et percutant ». Pas forcément du goût de la justice, qui a insisté sur la responsabilité qui accompagne la célébrité.

« Il ne suffit pas de dire ‘écoutez, j’ai un compte en banque, je suis connu dans le monde entier' », avait raillé l’avocat général, qui avait demandé le maintien en détention provisoire de tous les prévenus. Dans ses réquisitions, il a évoqué « l’explosion de violence, tout aussi inattendue qu’inacceptable », ainsi que les dégradations et la fermeture temporaire du hall de l’aéroport après la rixe.

Booba avait fait part de ses regrets et a promis un comportement irréprochable en cas de la libération provisoire que serait prête à lui accorder une décision de la Cour d’appel.  Kaaris, de son côté, répète ne pas être « à l’origine de l’altercation ». « C’est un père de famille, il est navré par l’image qui a pu être renvoyée », a déclaré son avocat. Le jugement sera rendu jeudi matin.

Le parquet a quant à lui requis le maintien en détention jusqu’au 6 septembre, date à laquelle doit se tenir leur procès. Les deux hommes jugés pour violences aggravées risquent jusqu’à dix ans de prison et 100 000 euros d’amende.



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