Jean-Luc Mélenchon estime que la dénonciation de l’accord franco-algérien est « d’une extrême agressivité envers l’Algérie »
L’Assemblée nationale a adopté jeudi une proposition de résolution du Rassemblement national appelant le gouvernement à dénoncer l’accord franco-algérien de 1968. Jean-Luc Mélenchon a vivement réagi à ce vote. Dans une vidéo diffusée sur X, le leader des Insoumis a qualifié cette décision de particulièrement hostile envers Alger.
🔴 France-Algérie : nous voulons vivre en paix !
👉 https://t.co/R60DuX7wjc pic.twitter.com/Hi8izixx2k
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) October 30, 2025
Une résolution jugée agressive
Le député a estimé que le texte adopté par les parlementaires constitue «une résolution d’une extrême agressivité envers l’Algérie». Selon lui, «il est urgent de tourner la page de la violence».
En pointant du doigt le Rassemblement national, à l’initiative de cette proposition, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une France «revancharde et haineuse, qui cultive les vieilles passions et envenime les rapports».
Le chef de file des Insoumis a alerté sur l’impact symbolique de cette décision parlementaire. Ce vote «envoie un signal extrêmement douloureux» particulièrement «pour les Français nés au Maghreb», a-t-il déclaré dans sa vidéo.
Sébastien Lecornu évoque une renégociation
De son côté, Sébastien Lecornu s’est exprimé jeudi sur le sujet en appelant à «renégocier» l’accord franco-algérien de 1968. Le Premier ministre a justifié cette position en expliquant : « Il faut le renégocier parce qu’il appartient à une autre époque. »
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion