À deux ans, il en appelle à la foi pour trouver le courage de sauter à l’eau

Titelbild
(capture d'écran Instagram/ confidencecurrency)
Von 5 juillet 2024

Face aux vacances d’été et à leur lot de décisions à prendre, un garçonnet de deux ans en appelle à la foi afin d’avoir le courage de sauter à l’eau.

Comme chaque année, les plages, rivières et piscines voient arriver les vacanciers qui se détendent et se rafraîchissent dans leurs eaux. Pourtant, pour nombre d’enfants, les vacances sont aussi synonymes de risques à prendre, surtout quand on est peu habitué à ces activités. La peur peut alors prendre le dessus, vissant les enfants sur le sable ou au bord de la piscine.

Banner, un garçonnet de deux ans, a choisi de faire preuve de courage afin de sauter dans l’eau de la piscine… Sur une vidéo relayée par le média Aleteia, on voit le bout’chou, brassards bien vissés au corps et masque de plongée bien ajusté, s’écrier allègrement: « Jesus, make me brave! » (Jésus, donne-moi du courage !).

Il saute alors vers l’inconnu d’une eau turquoise, bien vite rattrapé par les bras de son papa.

Sur son compte Instagram, sa maman explique que, face aux peurs de Banner, son petit dernier, « nous avons appris à nos quatre enfants à faire quelque chose lorsqu’ils ont peur : 1) demander à Jésus de leur donner du courage. Et ensuite, 2) de faire la chose avant même de se sentir assez courageux pour la faire. »

Cette mère américaine de quatre enfants précise cependant que ce credo est aussi source d’inspiration pour elle-même, elle le conseille d’ailleurs aux adultes.

« Jésus, donne-moi du courage » : je le crie à mes propres peurs, doutes et défis. Et vous savez quoi ? Cela renforce ma foi à chaque fois. »



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion