La Corée du Nord affirme avoir testé un missile de croisière avant la visite de Donald Trump en Corée du Sud
La Corée du Nord a annoncé mardi avoir procédé au tir d’essai de missiles de croisière mer‑sol, à la veille du déplacement du président américain Donald Trump en Corée du Sud.
L’adversaire des États‑Unis, soutenu par la Chine, a précisé que le missile avait été tiré vers ses eaux occidentales.
L’annonce est intervenue quelques heures avant l’arrivée de M. Trump à Gyeongju, en Corée du Sud, pour un sommet régional, alors que le pays allié des États‑Unis accueille cette année les réunions de la Coopération économique Asie‑Pacifique. M. Trump et le président sud‑coréen Lee Jae‑myung doivent tous deux y participer.
L’agence officielle nord‑coréenne KCNA a présenté le test comme un succès, affirmant que ces armes contribueraient à étendre le champ d’action des forces armées du régime, dotées de l’arme nucléaire.
L’état‑major sud‑coréen n’a pas confirmé dans l’immédiat avoir détecté ces tirs.
Dirigée par le dictateur Kim Jong‑un, la Corée du Nord a récemment vu ses capacités militaires s’étoffer, à la faveur d’un rapprochement avec la Russie. En échange d’une aide technologique de Moscou, Pyongyang a envoyé des contingents de soldats sur les lignes de front de la guerre menée par la Russie en Ukraine.
Ce dernier essai annoncé intervient après que la Russie a fait savoir avoir testé avec succès le Burevestnik, un missile de croisière à propulsion nucléaire que le Kremlin présente comme capable de faire le tour du globe sans être détecté.
L’Associated Press a contribué à cet article.
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