La police procède à l’identification de la victime d’une explosion dans des toilettes

Titelbild
Photo d'illustration d'un cabinet de toilette mobile en attente de sa prochaine destination (Natalie Behring/Getty Images)
Von 3 octobre 2019

Le corps de la femme tuée lors de l’explosion de toilettes mobiles samedi dernier en Floride, aux États-Unis, a été identifié avec certitude.

Selon First Coast News, Denise Victoria McQuaig, 62 ans, de la ville de St. Augustine, utilisait les toilettes mobiles le 28 septembre vers 6 h 30 du matin lorsqu’elles ont explosé, la tuant immédiatement.

L’explosion a été si puissante que les enquêteurs ont eu du mal à identifier le corps carbonisé. Ils ne pouvaient que témoigner que c’était probablement une femme blanche, selon Jacksonville.com. Les toilettes portatives ont brûlé.

Selon Crime Online, Mme McQuaig vivait près d’une maison en construction au 500, rue North Horseshoe, à St. Augustine, dans le comté de St Johns.

Selon le média, le propriétaire a déclaré qu’aucun travail n’avait été planifié sur le site ce matin-là et qu’aucune autre victime n’avait été signalée à ce jour.

Bien que l’identification du corps ait été faite par le Bureau du médecin légiste, la question demeure de savoir exactement ce qui a causé l’accident. Toutefois, à ce stade, après avoir interrogé plusieurs voisins, la police ne s’attend pas à un acte criminel.

« Nous avons des preuves, mais nous n’avons pas encore la cause officielle de la mort », a déclaré Chuck Mulligan, porte-parole du Service de police de St Johns, selon Ocala StarBanner. « Nous avons une assez bonne idée de ce qui s’est passé, mais nous ne l’avons pas encore publié. »

Dans une déclaration du 28 septembre, le Service de police du comté de St Johns a déclaré que des fonctionnaires avaient répondu à une plainte concernant un incendie dans des toilettes mobiles d’une maison située sur North Horseshoe Road à St. Augustine.

« En ce qui concerne la découverte aujourd’hui de restes humains contenus dans des toilettes portables, les détectives pensent que le défunt est une femme blanche », a déclaré le service de police.

Une forte explosion a été entendue vers 7 heures du matin, ont déclaré des témoins à la station de télévision WFOX.

Les enquêteurs ont dû enfiler des combinaisons de protection contre les matières dangereuses pendant qu’ils enquêtaient sur le secteur, passant au crible les débris souillés près du chantier de construction pendant des heures.

Selon le quotidien Florida Times-Union, la cabine de toilette sèche était située dans une propriété en construction depuis des mois.

« Une personne aurait pu entrer là-dedans, et le gaz méthane aurait pu s’enflammer d’une façon ou d’une autre… c’était peut-être un suicide ou quelque chose de plus abominable. Nous n’en savons rien pour l’instant », a dit Chuck Mulligan.

Photo d’archives d’une voiture de police. (Shutterstock)

« En 32 ans d’application de la loi, je n’ai jamais vu un cas comme ça avant », a fait remarquer M. Mulligan.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion