Le chèque énergie 2023 versé à partir du 21 avril
Le chèque énergie 2023 sera versé « à partir du 21 avril » à environ « 5,8 millions de ménages », a annoncé lundi la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher sur les ondes de RMC.
« Il porte sur un montant qui va de 48 à, à peu près 200 euros selon votre niveau de revenus. Il est automatique et on peut l’utiliser pour payer sa facture d’électricité, de gaz, de bois, toutes les énergies qui servent à vous chauffer », a-t-elle ajouté.
Face à la hausse des prix de l’énergie, nous continuons de protéger les Français.
✔️ 5,8 millions de ménages recevront automatiquement, à partir du 21 avril, leur chèque énergie pour les aider à payer leurs factures. #PouvoirdAchat #ApollineMatin pic.twitter.com/XPvQiZjj7F
— Agnès Pannier-Runacher ???? (@AgnesRunacher) March 13, 2023
Distribué depuis 2018, le chèque énergie est versé une fois par an au printemps, auquel s’est ajouté fin 2022 un chèque exceptionnel de 100 à 200 euros pour 12 millions de foyers. En complément, et sous conditions de ressources également, un chèque fioul de 100 à 200 euros, une aide de 50 à 200 euros pour ceux se chauffant au bois et une indemnité carburant de 100 euros ont aussi été annoncés depuis fin 2022.
Un bouclier tarifaire coûteux
Le gouvernement a aussi limité la hausse des tarifs de vente d’électricité à 15% en 2023, après 4% en 2022. La Cour des comptes a exhorté vendredi le gouvernement à sortir « définitivement » du « quoi qu’il en coûte » et à faire du redressement des finances publiques dégradées par des crises successives « une priorité nationale », étrillant un manque d’ambition en la matière.
Si le bouclier tarifaire sur l’électricité et le gaz, les remises à la pompe ou encore le chèque énergie ont permis à la France d’afficher le taux d’inflation le plus faible de la zone euro l’an dernier, ces mesures représentent un coût net de près de 43 milliards d’euros sur deux ans.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion