Sébastien Lecornu à Matignon : un démarrage plus difficile que François Bayrou sur fond d’impopularité record pour Emmanuel Macron
Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a démarré moins bien que son prédécesseur François Bayrou dans l’opinion à son arrivée à Matignon, tandis qu’Emmanuel Macron atteint son plus mauvais score depuis 2017, indique le baromètre Ipsos/BVA pour la Tribune Dimanche.
Avec seulement 16% d’opinions favorables (contre 40% d’opinions défavorables), le chef du gouvernement fait moins bien que son prédécesseur François Bayrou (20%) lors de sa nomination et il est même nettement distancé par Gabriel Attal (37%), Michel Barnier (34%) et Élisabeth Borne (27%).
De plus, 60% des Français pensent qu’il ne parviendra pas à un compromis avec des partis de l’opposition pour faire adopter le budget 2026.
Quant à Emmanuel Macron, il atteint dans ce baromètre son plus bas historique depuis son arrivée à l’Élysée en 2017, avec seulement 17% d’opinions favorables et une chute vertigineuse de 18 points dans son propre électorat.
Parmi les personnalités dont les Français seraient satisfaits si elles arrivaient à la présidence du pays, le président du RN Jordan Bardella arrive en tête (35%), devant la leader du parti Marine Le Pen (32%), puis le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau (27%), qui devance l’ancien Premier ministre Édouard Philippe (25%).
Raphaël Glucksmann, la première personnalité de gauche dans ce classement, n’arrive qu’en huitième position (18%).
L’enquête a été réalisée du 11 au 12 septembre par internet auprès d’un échantillon représentatif de 1000 personnes selon la méthode des quotas.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion