Les propriétaires sont victimes d’une nouvelle inquisition
L’administration fiscale pour lui permettre d’identifier quels contribuables sont encore redevables de la taxe d’habitation en 2023. Environ 34 millions de propriétaires sont appelés à fournir une déclaration, selon l’administration fiscale.
Chaque propriétaire, particuliers ou personnes morales, indivis ou usufruitier, d’une résidence principale, secondaire, d’un bien locatif ou vacant, doit donc impérativement les déclarer sur son espace en ligne dans la rubrique « Gérer mes biens immobiliers » du site impots.gouv.fr avant le 1er juillet 2023. Les modalités d’occupation de chaque local devront être précisées :→La nature de l’occupation : résidence principale, secondaire, loué… ,L’identité complète des occupants,
– La période d’occupation,
– Pour les locations saisonnières : les modalités de gestion du bien (en propre ou contrat de location avec gestionnaire excluant toute utilisation personnelle), le SIREN du gestionnaire ou celui du propriétaire le cas échéant, l’éventuelle classification en meublé de tourisme.
– Le loyer mensuel hors charge.
Une nouvelle déclaration sera nécessaire à chaque changement de situation.
Et après une telle décision, le gouvernement s’étonnera que les Français hésitent à investir dans l’immobilier !
Article écrit par Jean-Philippe Delsol. Publié avec l’aimable autorisation de l’IREF.
L’IREF est un « think tank » libéral et européen fondé en 2002 par des membres de la société civile issus de milieux académiques et professionnels dans le but de développer la recherche indépendante sur des sujets économiques et fiscaux. L’institut est indépendant de tout parti ou organisation politique. Il refuse le financement public
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion