« L’esprit de résistance » entre au Panthéon
Alors que l’ancienne église construite en l’honneur de la patronne de Paris Sainte-Geneniève quitte son armature d’échafaudages dévolue au nettoyage de sa coupole, le monument accueille aujourd’hui quatre nouvelles personnalités qui se sont illustrées par leur esprit de résistance face au régime nazi: Pierre Brossolette, journaliste, Geneviève de Gaulle-Anthonioz résistante puis militante contre la pauvreté, Jean Zay, avocat, écrivain puis homme politique et Germaine Tillion, ethnologue et rescapée des camps de concentration.
« Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante » peut-on lire sur le fronton du Panthéon depuis 1791. Le Panthéon, littéralement « demeure des Dieux » est réhabilité avec les idéaux de la révolution, plaçant la Nation devant le reste et ses grands hommes en héros et idoles de la Patrie. Il n’en reste néanmoins un formidable témoignage de notre histoire post-révolutionnaire et des symboles politiques et historiques de chacun des présidents de la république.
Pour cette nouvelle panthéonisation d’un président, l’heure est à l’ « esprit de résistance », symbole moral par excellence du peuple français qui dans les sombres années de l’occupation nazie a pour une partie d’entre eux refusé l’idéologie fasciste et contribuer à la libération du pays. « L’esprit de résistance », François Hollande y voit un symbole utile pour la France aujourd’hui, de même que d’y faire entrer deux femmes et de deux hommes, montre de l’application de la parité aux endroits les plus inattendus.
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