Limoges: rixe mortelle pour un jeune Turc de 16 ans
Une information judiciaire a été ouverte à l’encontre de cinq suspects mineurs après le décès d’un adolescent turc de 16 ans, frappé à l’arme blanche lors d’une rixe au centre ville de Limoges, a annoncé mercredi le parquet.
Les suspects, des mineurs isolés âgés de 15 à 17 ans, sont de nationalité pakistanaise, a indiqué à l’AFP une source proche de l’enquête. Selon France Bleu Limousin, la victime résidait dans un foyer de suivi éducatif et social pour mineurs en banlieue de Limoges, et les suspects étaient sans domicile fixe.
Lundi, en fin de journée, la police est intervenue pour une rixe place Churchill à Limoges et a prodigué les premiers soins à la victime, qui a succombé à ses blessures à l’hôpital.
« Deux plaies profondes »
L’autopsie réalisée mercredi a conclu que la mort était consécutive à « deux plaies profondes » par arme blanche, selon le parquet.
Les cinq suspects devaient être présentés à un juge d’instruction. En garde à vue, ils ont reconnu leur présence sur les lieux mais nient leur implication quant aux coups mortels portés à la victime, selon le parquet. Aucune arme blanche n’a été retrouvée en leur possession au moment de leur interpellation, d’après France Bleu Limousin.
L’information judiciaire a été ouverte pour « violence avec préméditation ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et « violence volontaire avec incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours aggravée par trois circonstances (arme, réunion et avec préméditation) ».
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion