Loire-Atlantique : une femme de 75 ans violée pendant le cambriolage de sa maison

Titelbild
Photo d'illustration. Crédit : Pixabay.
Von 3 décembre 2020

La victime aurait été tenue sur son lit avant d’être violée par l’un des malfaiteurs qui venaient de s’introduire dans sa maison.

Les faits se sont déroulés dans la nuit du dimanche 29 au lundi 30 novembre à Rezé, une commune d’environ 44 500 habitants établie dans la banlieue sud de Nantes.

Selon Ouest-France, trois cambrioleurs se sont introduits dans la maison d’une femme de 75 ans aux alentours de 3 h.

L’un des malfrats aurait violé la septuagénaire en lui infligeant une pénétration digitale pendant que ses complices exploraient le logement.

La victime a été transportée au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Nantes pour y être examinée.

La Sûreté départementale a été saisie de l’enquête.

FOCUS SUR LA CHINE – Un homme proteste et déclenche une explosion en Chine

An dieser Stelle wird ein Video von Youtube angezeigt. Bitte akzeptieren Sie mit einem Klick auf den folgenden Button die Marketing-Cookies, um das Video anzusehen.

Le saviez-vous ?

Epoch Times est un média indépendant, différent des autres organisations médiatiques. Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique. Notre objectif est d’apporter à nos lecteurs des informations factuelles et précises, en étant responsables envers notre lectorat. Nous n’avons d’autre intention que celle d’informer nos lecteurs et de les laisser se faire leur propre opinion, en utilisant comme ligne directrice les principes de vérité et de tradition.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion