Montpellier : condamné à trois ans de prison pour avoir jeté un chien du troisième étage
L’événement s’était déroulé début août à Montpellier. Un homme, âgé de 35 ans, avait jeté un chien du haut du troisième étage de son immeuble après que celui-ci l’a mordu. La police municipale, alertée par des riverains peu avant la défenestration de l’animal, s’était rendue sur les lieux.
L’un des policiers, posté en bas de l’immeuble, avait alors vu toute la scène. L’interpellation de l’homme, qui était sous l’emprise de l’alcool, s’était déroulée dans une importante agitation.
L’homme écope de trois ans de prison dont deux ans fermes et il est condamné à ne plus jamais pouvoir détenir un animal. Il affirme n’avoir aucun souvenir de cet acte odieux et n’éprouve ni remords, ni regrets. Il a demandé la clémence mais sans succès.
Montpellier : deux ans de prison ferme pour avoir jeté son chien du troisième étag
C est une victoire
Plus de détention d animal
3 ans de prison dont 2 ferme
Dédommagements de 5 600 €La SPA accueille le chien maltraité mais qui n a plus confiancehttps://t.co/2NIprSAEEa
— Gabrielle77265734 (@Gabriel77265734) 24 août 2019
L’animal, âgé de deux ou trois ans, appartenait à l’une de ses connaissances. Il était sorti miraculeusement indemne de sa chute et avait été récupéré par la SPA Montpellier Méditerranée Métropole de Villeneuve-les-Maguelone, ainsi que le rapportait Midi Libre le 4 août.
La SPA estime ce jugement «rare et exemplaire».
Retweeted 30 Millions d’Amis (@30millionsdamis):#JUSTICE – Condamnation exemplaire pour avoir battu et jeté son chien par la fenêtre : le bourreau d’Attila écope de deux ans de prison ferme et d’une… https://t.co/d5c53Jviua
— gwendoline guillo (@gwenline56) 4 mai 2018
Annie Bénézech, directrice de la SPA de Villeneuve-les-Maguelone, est soulagée du jugement prononcé. «Je remercie le parquet d’avoir suivi les réquisitions du procureur. C’est rare qu’une condamnation aussi forte soit prononcée», a-t-elle déclaré au micro de France Bleu. «C’est ce que l’on demande pour chaque acte d’une telle cruauté, si jamais la personne est prise avec un nouvel animal, les policiers ou les gendarmes peuvent l’arrêter sur le champ», précise-t-elle.
Elle conclut : «Cela prouve que les citoyens et la justice prennent de plus en plus conscience de la souffrance animale.»
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