Nancy : un CPE tabassé à la sortie d’un lycée par des jeunes de 14 et 15 ans

Titelbild
Le lycée Henri Poincaré à Nancy. (Image : Google Maps)
Von 15 mai 2025

Un CPE du lycée Henri Poincaré à Nancy (Meurthe-et-Moselle), qui raccompagnait une élève à la sortie de l’établissement, a été passé à tabac en début de semaine par une bande d’adolescents prêts à en découdre. Il a reçu plusieurs jours d’ITT.

Les agresseurs n’ont même pas 16 ans. Ce lundi 12 mai vers 17h, alors qu’il raccompagnait une élève à la sortie du lycée Henri Poincaré à Nancy (Meurthe-et-Moselle), un CPE a été roué de coups par plusieurs adolescents qui attendaient devant l’établissement. Suite à ce guet-apens, la victime, blessée, a reçu 3 jours d’ITT.

À l’origine de cette affaire, une lycéenne qui a agressé une autre élève, rapporte Actu.fr. « Se sachant convoquée par le CPE pour un entretien avec la victime, la lycéenne a demandé à des adolescents, non scolarisés dans l’établissement, de se placer à la sortie du lycée », explique la police.

Une violence immédiate

À l’issue de l’entretien, l’élève est raccompagnée à l’extérieur de l’établissement, et la situation dégénère rapidement. Voyant le CPE en compagnie de leur amie, les adolescentes postées à la sortie saisissent l’occasion et le prennent à partie.

« Le CPE les repousse. Immédiatement, les trois autres adolescents s’approchent, le bloquent et le rouent de coups », ajoutent les forces de l’ordre. Leur âge a de quoi faire blêmir : tous ont entre 14 et 15 ans. Chacun a pu être interpellé par la police.

Les agresseurs ont reconnu les faits en garde à vue. Pour se justifier, les mineurs ont avancé ignorer que la victime était le CPE. Ce mercredi, ils ont été présentés devant un magistrat avant d’être convoqués par le juge des enfants.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion