Nanterre: une femme incendie une banque car le personnel lui refuse un retrait

Titelbild
(DENIS CHARLET/AFP via Getty Images)
Von 17 février 2024

Ce vendredi matin, rue Maurice-Thorez à Nanterre (Hauts-de-Seine), une femme de 52 ans a attaqué un homme avec une paire de ciseaux et incendié l’agence bancaire de la Société Générale.

Une scène incompréhensible. Ce vendredi 16 février, aux alentours de 10h30, une femme de 52 ans, bidon à la main, est entrée dans une agence bancaire de la Société générale à Nanterre, située rue Maurice-Thorez, pour retirer de l’argent, a appris Valeurs actuelles. La quinquagénaire, probablement sous curatelle ou tutelle, ne pouvait toutefois pas effectuer d’opération bancaire, son compte n’étant pas approvisionné.

Après que le personnel ait refusé de lui donner ce qu’elle ne pouvait obtenir, la situation a rapidement dégénéré. D’un coup, elle a commencé à s’en prendre à un homme venu retirer de l’argent en le frappant au front avec une paire de ciseaux. Dans la foulée, elle a déversé le contenu du bidon, qui n’était autre que du liquide inflammable, avant d’enflammer le tout à l’aide d’un briquet.

La pyromane, immobile, observe le début d’incendie. Quelques instants plus tard, elle prendra même la pose, sourire aux lèvres et effectuera une petite danse devant les objectifs des smartphones braqués sur elle. Satisfaite de la situation, elle est ensuite sortie de l’agence pour aller contempler depuis la rue l’incendie qu’elle venait de provoquer.

Complètement insensible

La dérangée ne cherchera même pas à fuir le centre-ville de Nanterre où elle sera interpellée, quelque temps plus tard, par un équipage de police. L’incendiaire n’a manifesté aucune réaction ni fait aucune déclaration pour expliquer son geste. Elle a également été filmée après son interpellation, alors qu’elle était menottée et conduite à un véhicule de police pour être amenée au commissariat. Elle refuse de marcher et se laisse porter par les fonctionnaires.

Arrivée au commissariat, elle a été examinée par un psychologue, qui a déterminé que son état était incompatible avec une mesure de garde à vue et a suggéré un placement en soins psychiatriques.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion