Narbonne: à bord d’une voiture volée et sous bracelet électronique, ils blessent six policiers
Deux fuyards de 18 ans aux profils inquiétants ont été interpellés jeudi 6 avril à Narbonne (Aude), au terme de plusieurs refus d’obtempérer qui ont blessé six policiers.
Ils ont pris tous les risques pour semer les forces de l’ordre. Jeudi 6 avril, à Narbonne (Aude), deux délinquants de 18 ans n’ont pas hésité à percuter plusieurs véhicules de police afin d’échapper à une arrestation, a appris CNews de source policière.
Une patrouille de la BAC venait de repérer le véhicule, déclaré comme volé. Malgré les avertissements sonores et lumineux des policiers, les deux individus prennent la fuite à toute allure. Bloqués par la circulation, ils ont commencé par percuter à trois reprises le véhicule des policiers, coinçant au passage la jambe d’un des fonctionnaires dans la portière, alors qu’il tentait de descendre, a souligné Le Figaro.
Ayant réussi à s’enfuir, ils sont rentrés une seconde fois dans un véhicule de police, celui de la municipale, arrivée en renfort. Les deux individus en sont alors sortis pour déguerpir. Les agents sont finalement parvenus à les arrêter.
Des armes retrouvées
Dans un sac jeté par le passager, une arme de poing, un pistolet d’alarme et un fusil chargé ont été découverts. Les deux voyous avaient aussi des cagoules sur eux. Le passager possédait également un fusil à pompe, des cartouches, et un tracker.
Six policiers ont été conduits à l’hôpital. Deux membres de la BAC ont eu 6 jours d’ITT, tandis que trois agents de la municipale ont reçu de cinq à quinze jours d’ITT.
Les deux fuyards, Ilias A. et Yacine B., âgés de 18 ans, étaient déjà connus des services de police. En effet, tous les deux se trouvaient sous bracelet électronique. L’un d’eux a dû se faire opérer du tibia, blessé lors de sa fuite.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion