Nice impose le casque aux usagers de trottinettes électriques dès le 1ᵉʳ novembre

Titelbild
Illustration. (Crédit photo Dan Kitwood/Getty Images)
Von 3 octobre 2025

La municipalité de Nice impose une nouvelle règle de sécurité. À compter du 1ᵉʳ novembre, toute personne circulant en trottinette électrique devra porter un casque. Une décision prise par le maire de la ville, face à la multiplication des accidents graves.

Christian Estrosi a officialisé sa décision ce jeudi 2 octobre, annonçant que la mesure entrerait en vigueur dès novembre prochain. Il veut rendre obligatoire le port du casque pour les usagers de trottinettes électriques, comme le rapporte Nice-Matin.

Pour lutter contre la multiplication des accidents graves

La police municipale a renforcé ses vérifications, pour s’assurer notamment que la vitesse des trottinettes reste conforme au bridage à 25 km/h, que les engins circulent sur les voies autorisées et que leurs conducteurs disposent d’une assurance. Depuis janvier, 180 opérations de contrôle ont eu lieu.

Malgré cela, les accidents restent nombreux, trop pour l’édile. Il a rappelé qu’à Nice, « 110 accidents » ont nécessité « des interventions chirurgicales lourdes », et ce depuis le début de l’année. Par conséquent, ce choix s’inscrit dans une volonté de protection des usagers et des piétons, face à des traumatismes qui se multiplient.

Le maire n’exclut pas d’étendre ces obligations. Inspiré par l’Italie, où trottinettes et vélos électriques sont immatriculés, il souhaite examiner comment imposer également à ces derniers le port du casque.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion