Les passagers d’un vol Paris-Marrakech attendent pendant 14 heures avant de décoller

Samedi 22 avril, alors que leur vol devait initialement décoller à 9h15 de l’aéroport Paris-Orly, des passagers ont attendu durant 14 heures avant de pouvoir rejoindre leur destination à Marrakech au Maroc.

Ce samedi 22 avril, à cause d’une panne moteur d’un avion de la Royal Air Maroc, qui devait décoller à 9h15 de l’aéroport Paris-Orly à destination de Marrakech, des passagers n’ont pas pu atteindre leur destination à temps. Cependant, alors qu’ils s’attendaient à un léger retard, ces derniers ont, au final, attendu pendant 14 heures avant de pouvoir enfin décoller.

En effet, ce n’est que vers 23 heures qu’ils ont pu partir pour rejoindre le Maroc. Avant de décoller, l’un d’eux, en colère, avait déclaré au micro de BFMTV : « Il n’y a aucune nouvelle, aucun service de communication, aucun représentant de Royal Air Maroc ». « Nous avons été baladés d’heure en heure, de porte en porte, tout ça pour ne voir absolument personne de la Royal Air Maroc », a lancé un autre.

Les passagers d’un vol Paris-Marrakech décollent avec 14 heures de retardhttps://t.co/FVAR7F7jkg pic.twitter.com/yBgwUKtStN

— BFMTV (@BFMTV) April 23, 2023

Finalement, ce n’est que tardivement que des représentants de la compagnie sont venus à la rencontre des passagers pour apporter des précisions, a rapporté Démotivateur. Certains craignaient notamment que leurs réservations d’hôtels ou de voitures sur place ne soient pas remboursées.

« Il y aura un service pour pouvoir gérer la réclamation », a alors indiqué la compagnie, en précisant que « vous aurez vos attestations qui vont définir l’horaire exact auquel vous allez partir avec le nombre d’heures de retard ».

Voyant les heures passer, certains passagers ont préféré changer leur billet, car avec une arrivée à plus de minuit (heure locale) au Maroc, cela aurait fait « trop tard pour les enfants », a confié une passagère. « Si on n’était qu’à deux avec mon mari pourquoi pas, mais avec des enfants cela va faire vraiment trop tard », a-t-elle conclu.