Peste porcine: la Chine double ses importations de porc

Titelbild
-Un vendeur vend de la viande de porc sur un marché de Pékin le 15 octobre 2019. L'inflation de la consommation en Chine s'est accélérée à son rythme le plus rapide depuis près de six ans, la peste porcine africaine a fait monter les prix du porc à près de 70%, selon des données officielles d'octobre. Photo de WANG Zhao / AFP via Getty Images.
Von 28 novembre 2019

La Chine devrait plus que doubler ses importations de porc cette année, en réponse à l’épidémie de peste porcine africaine qui a décimé son cheptel, a fait savoir jeudi le ministère du Commerce.

Apparue en août 2018 dans le nord-est du pays, l’épizootie a entraîné l’abattage de plus d’un million de cochons, selon un chiffre officiel considéré comme très sous-évalué.

Le porc étant de loin la viande la plus consommée en Chine, la maladie a fait doubler les prix sur un an en octobre dernier. Les prix des autres viandes ont également flambé.

Les exportations de porc vers la Chine ont augmenté de 37%

En réaction, Pékin a puisé dans ses réserves et augmenté les importations, a déclaré devant la presse le porte-parole du ministère du Commerce, Gao Feng.

Les importations totales devraient ainsi dépasser 3 millions de tonnes cette année, contre 1,2 million l’an dernier.

La Chine continuera « à encourager l’accroissement des importations », a assuré le porte-parole.

La hausse de l’offre a entraîné depuis début novembre une baisse de 16,5% des prix du porc, a-t-il précisé.

La demande chinoise a bénéficié notamment aux producteurs européens, dont les exportations vers la Chine ont augmenté de 37% entre janvier et avril, selon des chiffres de la Commission européenne.

 



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion