Polynésie: un enfant de sept ans subit de profondes morsures de requin

Titelbild
Des requins bouldogues en groupe. Illustration. Photo par amanderson2, Commons Wikimédia, CC BY 2.0
Von 27 juillet 2025

Un enfant de sept ans a été gravement mordu au bras et à la jambe par un requin à Nuku Hiva, une île de l’archipel des Marquises, en Polynésie française, a rapporté samedi la chaîne locale TNTV.

Une information confirmée à l’AFP par les pompiers de l’île.

Une dizaine d’enfants s’amusaient vendredi à sauter depuis le quai dans la baie de Taiohae, le principal village de l’île, lorsqu’un requin a mordu l’un d’eux au bras et à la jambe.

« J’ai 35 ans et c’est la première fois que je vois ça, c’étaient des blessures longues et profondes », a déclaré à l’AFP une sapeur-pompier de Nuku Hiva qui a porté secours à la victime, mais n’a pas souhaité décliner son identité.

« Lié aux carcasses de poisson »

« C’est probablement lié aux carcasses de poissons que les pêcheurs jettent à cet endroit : il y a beaucoup de requins, comme des pointes noires, des marteaux, et des citrons », a-t-elle ajouté.

L’enfant a été transféré vers le petit hôpital de l’île, avant d’être évacué par avion vers le centre hospitalier de la Polynésie française, à Tahiti, à 1500 km de Nuku Hiva.

Les attaques de requins sont rares en Polynésie française. Les morsures concernent surtout les pêcheurs sous-marins ou les personnes qui pratiquent le shark feeding, une activité interdite consistant à attirer les requins avec de la nourriture pour les observer.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion