Nous pouvons être identifiés par le « nuage de bactéries » qui nous entoure

Titelbild
Le « nuage de bactéries » autour du corps humain peut être utilisé pour identifier un individu, comme une empreinte digitale. (NEID / Flickr)
Von 18 novembre 2016

Autour de chaque corps humain se trouve un « nuage de bactéries », selon une nouvelle étude. Ce nuage consiste en des bactéries pouvant être utilisées pour identifier un individu, à la manière d’une empreinte digitale.

Selon une étude réalisée par l’Université de l’Oregon, des millions de bactéries se détachant du corps forment un « nuage de bactéries », incluant et entourant constamment le corps humain. En analysant les bactéries du corps de n’importe quelle personne, il est possible de connaître leur « propriétaire ».

Des expériences à ce sujet ont été menées sur 11 personnes, avec des sujets masculins et féminins. Ces personnes séjournaient dans une chambre propre pendant 4 heures. Elles s’asseyaient sur une chaise, portant des vêtements stériles.

Au fil du temps, les sujets ont déchargé un grand nombre de bactéries par les voies respiratoires ou par la peau, la sueur et les cheveux. Il a ensuite été prélevé des germes dans les chambres uniquement contaminées par les sujets de l’expérience. Les analyses ont alors révélé que les sujets produisaient des bactéries leur étant propres.

Le Dr. James Meadows a déclaré sur l’expérience : «  Les gens font un « nuage de germes » autour de leur corps par la production quotidienne d’une multitude de bactéries. Quand les gens se serrent la main entre eux, tout s’échange entre les ‘nuages bactériens adverses’ ».

Les scientifiques ont pensé à diverses applications des suites de cette étude. En utilisant « l’empreinte bactérienne », la police pourrait alors retrouver l’identité d’un suspect dans une enquête criminelle. Une de ses applications dans le domaine médical pourrait permettre d’identifier une infection.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion