Procès Jubillar : une peine de trente ans de réclusion requise contre Cédric Jubillar

Titelbild
(VALENTINE CHAPUIS/AFP via Getty Images)
Von 15 octobre 2025

Une peine de trente ans de réclusion criminelle a été requise mercredi à l’encontre de Cédric Jubillar, accusé du meurtre de son épouse Delphine, disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.

Devant la cour d’assises du Tarn, l’avocat général Pierre Aurignac a réclamé la condamnation du peintre-plaquiste de 38 ans et exigé « une réponse pénale extrêmement ferme » pour le « meurtre aggravé » de Delphine, née Aussaguel, dont le corps demeure introuvable.

Une affaire au cœur d’une énigme judiciaire

Quatre ans après la disparition de l’infirmière d’Albi, la justice tente toujours de percer les zones d’ombre de ce drame devenu affaire nationale. Malgré des mois de recherches et d’investigations, aucune trace du corps de Delphine Jubillar n’a été retrouvée, nourrissant les doutes, les rumeurs et les hypothèses contradictoires.

Un procès à haute tension

Depuis l’ouverture des débats, les témoignages et confrontations se succèdent, dessinant le portrait d’un couple en crise sur fond de séparation imminente. Cédric Jubillar, qui clame son innocence, reste au centre d’un dossier marqué par des zones d’incertitude et des déductions fragiles, selon ses avocats. L’accusation, quant à elle, estime au contraire que les éléments convergent vers un geste de colère « irréversible ».

Les jurés de la cour d’assises du Tarn devront désormais trancher entre ces deux versions. Leur décision, particulièrement attendue, viendra mettre un terme à l’un des dossiers criminels les plus médiatisés de ces dernières années.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion