Pyrénées-Orientales : âgé de 45 ans, un policier affecté à Perpignan met fin à sa vie

Titelbild
(Photo : ROMAIN LAFABREGUE/AFP via Getty Images)
Von 26 mai 2022

Un nouveau drame dans la police nationale est survenu mercredi 25 mai à Perpignan dans les Pyrénées-Orientales.

Affecté à la direction interdépartementale de la police aux frontières (DIDPAF) de Perpignan, un policier âgé de 45 ans a mis fin à sa vie mercredi, informe Actu17. Patrick  était formateur aux techniques et à la sécurité en intervention (FTSI).

Père de famille, il laisse derrière lui trois enfants.

« À quand la fin de cette série noire ? »

« C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons la disparition brutale de notre collègue, Patrick, affecté à Perpignan ». « Nos pensées émues vont à sa famille, ami(e)s mais aussi aux collègues qui ont croisé sa route. À quand la fin de cette série noire ? » a réagi le syndicat Alliance Police Nationale du département.

Une ligne d’écoute est disponible pour les fonctionnaires victimes d’agressions ou de menaces au 08.00.95.00.17, tous les jours, de 5 heures à 23 heures et une cellule de soutien psychologique est aussi ouverte 24h/24 au 08.05.23.04.05. Les appels sont anonymes, confidentiels et gratuits.

Pour une écoute professionnelle et confidentielle : appel gratuit au 3114, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Deux associations sont  également joignables : SOS Policiers en Détresse (PEPS-SOS), et Assopol.

 

***

Chers lecteurs,
Abonnez-vous à nos newsletters pour recevoir notre sélection d’articles sur l’actualité.
https://www.epochtimes.fr/newsletter



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion