Un radar flashait à tort, la préfecture de Charente-Maritime annule les contraventions
Lundi 19 décembre, après de nombreuses plaintes d’automobilistes, la préfecture de Charente-Maritime a déclaré que le radar situé sur la départementale 137, au niveau de Tonnay-Charente, était bel et bien mal paramétré. En conséquence, les contraventions ont été annulées et les conducteurs remboursés.
Depuis fin novembre, de nombreux automobilistes se sont plaints d’avoir été flashés alors qu’ils respectaient la limitation de vitesse à 90 km/h sur la départementale 137 au niveau de Tonnay-Charente. Depuis, une enquête était en cours et la préfecture a finalement donné sa conclusion : le radar sur cette portion a été mal paramétré.
D’après les constatations des forces de l’ordre, ce dernier a été réglé sur 80 km/h, la vitesse qui était en vigueur de 2018 à 2021.
Après avoir reconnu cette erreur, la préfecture a annoncé l’annulation de toutes les contraventions relevées à partir du 30 novembre, a rapporte France Bleu.
#NouvelleAquitaine. Radar « fou » : la Préfecture confirme sa défaillance et annule les contraventions. https://t.co/6r8FranmLP pic.twitter.com/qNZ8xPEqxj
— e_niort (@e_niort) December 20, 2022
À noter que les automobilistes verbalisés n’ont aucune démarche à faire. En effet, tous les PV sont annulés automatiquement et ceux ayant déjà payé leur contravention injustifiée seront contactés pour leur remboursement, a rapporté Sud-Ouest.
Quant au radar incriminé, « l’appareil fonctionne désormais correctement », a conclu la préfecture.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion