Rennes : ils fauchent une femme de 78 ans pendant un rodéo sauvage et la blessent grièvement

Titelbild
Photo d'illustration. Crédit : JEAN-PIERRE MULLER/AFP via Getty Images.
Von 25 novembre 2020

Laissée pour morte par les occupants du véhicule, la victime souffre de plusieurs fractures.

Les faits ont eu lieu dans l’après-midi du dimanche 22 novembre à Rennes (Ille-et-Vilaine).

Aux alentours de 17 h, une femme de 78 ans a été fauchée par le conducteur d’une Renault Mégane break dans le quartier du Blosne alors qu’elle se trouvait sur un trottoir, rapporte actu17.

Souffrant de plusieurs fractures, la victime a été prise en charge par les secours avant d’être évacuée vers l’hôpital en urgence absolue.

Le véhicule ayant percuté la septuagénaire a été abandonné sur les lieux de l’accident. Ses occupants, au nombre de trois selon actu17, ont pris la fuite, laissant la victime à son triste sort.

Le commissariat de police de Rennes a été saisi de l’enquête. D’après les premiers éléments recueillis, les occupants de la berline étaient en plein rodéo sauvage au moment des faits.

L’état de la victime s’est amélioré dans la soirée du 22 novembre, son pronostic vital n’étant plus engagé.

NOUVEL HORIZON – Élections USA : des millions de votes frauduleux

An dieser Stelle wird ein Video von Youtube angezeigt. Bitte akzeptieren Sie mit einem Klick auf den folgenden Button die Marketing-Cookies, um das Video anzusehen.

Le saviez-vous ?

Epoch Times est un média indépendant, différent des autres organisations médiatiques. Nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, entreprise ou parti politique. Notre objectif est d’apporter à nos lecteurs des informations factuelles et précises, en étant responsables envers notre lectorat. Nous n’avons d’autre intention que celle d’informer nos lecteurs et de les laisser se faire leur propre opinion, en utilisant comme ligne directrice les principes de vérité et de tradition.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion