Retraites: mobilisation en légère hausse dans les hôpitaux et collectivités à la mi-journée

Titelbild
Illustration. (PASCAL GUYOT/AFP via Getty Images)
Von 6 avril 2023

Le nombre de fonctionnaires en grève contre la réforme des retraites est légèrement remonté jeudi, le taux de grévistes dans les collectivités locales et les hôpitaux étant supérieur de 0,5 point à celui de la dernière journée de mobilisation, le 28 mars.

Dans la fonction publique territoriale (environ 2 millions d’agents), il s’établit ainsi à 3,9%, contre 3,4% le 28 mars à la mi-journée, selon les chiffres du ministère de la Fonction publique. Dans la fonction publique hospitalière (1,2 million d’agents), il remonte à 5,9% contre 5,4% lors de la précédente journée de mobilisation. En revanche, dans le plus gros versant du secteur public, la fonction publique d’État (2,5 millions d’agents), le taux de grévistes est identique à celui du 28 mars et atteint 6,5% à la mi-journée.

Comme lors des dix précédentes journées de mobilisation contre la réforme des retraites, qui prévoit de décaler l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans, les huit syndicats représentatifs de la fonction publique ont appelé à manifester jeudi. Bien qu’en légère hausse, la mobilisation reste nettement inférieure à celle de la première journée de grèves contre la réforme, le 19 janvier. Ce jour-là, selon les chiffres du ministère à la mi-journée, 28% des fonctionnaires d’État avaient battu le pavé, aux côtés de 11,3% des fonctionnaires territoriaux et de 9,9% des agents des hôpitaux.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion