Retraites: nouveau blocage du réseau de bus à Rennes
Le réseau de bus de Rennes et de sa métropole était une nouvelle fois « fortement perturbé » en raison du blocage du principal dépôt par des manifestants opposés à la réforme des retraites, a indiqué mardi le gestionnaire du réseau.
Dès 05h10, un « blocage » du « dépôt de bus par des manifestants » est intervenu, selon l’agence Star sur Twitter. « Le réseau de bus est fortement perturbé », a ajouté le gestionnaire du réseau de transports en commun. Ce dépôt a déjà fait l’objet de plusieurs blocages, notamment les 20 et 28 mars, ainsi que le 13 avril.
? Mardi 2 mai – 5h10 : BLOCAGE dépôt de bus par des manifestants.
– Les lignes 10-14-32-34-47-64 ne circulent pas
– Les lignes C1-C2-C3-C4-C5-C6-C7/C7ex-11-13-50-53-59 sont perturbées > Consultez les départs en temps réel sur STAR l’appli. #infotrafic— STAR en direct (@STARendirect) May 2, 2023
Après deux semaines de vacances, la rentrée scolaire s’effectue mardi en Bretagne. Lundi 1er mai, une première manifestation syndicale s’était déroulée dans le calme à Rennes. Environ 24.000 personnes selon les syndicats, moins de 8000 selon la police, avaient défilé dans le quartier populaire de Maurepas.
Dans l’après-midi, une deuxième manifestation organisée cette fois en centre-ville et qui a rassemblé plus de 12.000 personnes selon la préfecture, a été émaillée de tensions.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion