Shen Yun : « On ressent la bonté, la magie, la religion », confie un responsable financier
NANTES – Ce samedi 22 février, Bruno Bareau pensait juste accompagner son épouse pour assister au spectacle Shen Yun à la Cité des Congrès. Mais il a finalement été « pris aux tripes », confie-t-il.
« C’est vraiment un spectacle extraordinaire. Cela fait plaisir de voir cette civilisation chinoise que je ne connaissais pas. C’est vraiment très, très beau ! » s’est enthousiasmé ce responsable financier.
« On peut dire que c’est vraiment magique ! C’est vraiment merveilleux ! Et de voir tous ces décors et cette façon de passer du réel vers le numérique, je trouve cela extraordinaire ».
M. Bareau a ainsi pu ressentir une forme de bienveillance « à travers la musique… On ressent tout cet univers, la bonté, la magie, la religion. On reçoit beaucoup de choses qui sont vraiment exceptionnelles ». Le responsable financier a été particulièrement sensible au chant de « la soprano », qu’il qualifie d’ « extraordinaire ». « Elle a une jolie voix ! »
« C’est vraiment un spectacle à voir et à revoir », a-t-il conclu.
« On rentre vraiment dans un autre monde »
Nicolas Humbert est également venu faire l’expérience de Shen Yun en famille. « On va beaucoup au spectacle, mais c’est la première fois qu’on voit un spectacle de danse avec un orchestre en live. C’est vraiment très, très beau ! »

« On rentre vraiment dans un autre monde » s’est exclamé Francis Humbert, responsable de projets en assistant à Shen Yun le 22 février. (NTD)
« On rentre vraiment dans un autre monde, on s’imprègne de la culture », a apprécié ce responsable de projet.
« On ressent de la bienveillance, une plénitude qui se dégage. C’est très, très agréable ! » a-t-il ajouté.
Pour M. Humbert, Shen Yun permet « de s’ouvrir au monde », il est « très important de s’ouvrir au monde pour justement découvrir d’autres peuples et arriver à les comprendre. »
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.
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