Soldats américains en Syrie : le lapsus du général Jarrard

Titelbild
Un membre des forces américaines monte la garde lors d'une réunion entre l'envoyé présidentiel spécial américain pour la coalition mondiale contre l'EI et le conseil civil de Tabqa dans la ville de Tabqa, à environ 55 kilomètres à l'ouest de Raqa, le 29 juin. 2017. (SOULEIMAN / AFP / Getty Images)
Von 31 octobre 2017

Questionné au cours d’un point de presse au Pentagone sur le nombre de soldats américains déployés en Syrie, le général Jarrard a d’abord répondu: « Nous avons (…) un peu plus de 4.000 soldats américains en Syrie actuellement, qui soutiennent les efforts contre Daesh et soutiennent les FDS ».

Alors que le journaliste s’étonnait de ce nombre supérieur au chiffre officiel qui est de 500 soldats américains déployés en Syrie, le général, qui s’exprimait par téléconférence depuis Bagdad, s’est repris.

« Je suis désolé, je me suis trompé. Il y a environ 500 soldats en Syrie », a-t-il dit.

Un porte-parole du Pentagone est alors intervenu pour réaffirmer le nombre officiel de militaires américains déployés en Syrie (503) et en Irak (5.262).

Ces chiffres correspondent à la limite imposée officiellement par l’ancien président aux nombres de troupes déployées dans ces deux pays. Depuis, Donald Trump a donné plus de flexibilité au ministre de la Défense Jim Mattis pour déterminer le niveau des effectifs nécessaires sur le terrain. Le Pentagone ne publie en général pas le nombre de ses soldats sur le terrain.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion