Suez remporte le contrat du traitement de l’eau de Lucknow (Inde)

Titelbild
-Illustration- Un employé vérifie les pipelines de l'usine de Spolana, le 24 janvier 2006, sur les rives de l'Elbe à environ 20 kilomètres au nord de Prague. Le nettoyage d'une des plus graves zones noires de pollution de la République tchèque. Photo MICHAL CIZEK/AFP/Getty Images.
Von 14 octobre 2019

Le groupe français Suez a annoncé lundi avoir remporté le contrat de gestion des infrastructures d’assainissement et traitement des eaux usées de Lucknow, en Inde, dans le cadre du Plan de dépollution du Gange.

Ce contrat d’un montant de 98,3 millions d’euros comprend l’exploitation de 1.600 km de réseaux d’assainissement, de trois usines de traitement des eaux usées et de huit stations de pompage pour 10 ans, précise dans un communiqué le numéro deux mondial des services à l’environnement.

Pour la première fois en Inde, un même opérateur assurera la gestion de l’ensemble des infrastructures d’assainissement d’une ville, en l’occurrence une cité de 2,8 millions d’habitants, capitale du plus grand État du pays (l’Uttar Pradesh), ajoute Suez.

Un système de nettoyage entièrement mécanisé

Afin d’« optimiser la maintenance des 1.600 kms de réseaux », le groupe ajoute qu’il y déploiera pour la première fois en Inde un système de nettoyage entièrement mécanisé.

Le Plan de dépollution du Gange (« Namami Ganga ») vise à améliorer la qualité de l’eau du fleuve et de ses affluents en traitant les eaux usées des villes situées le long de ces cours d’eau, de la rivière Gomtî pour ce qui concerne Lucknow.

Suez, qui a dévoilé le 2 octobre son nouveau plan stratégique sur quatre ans, souhaite notamment s’axer sur de « nouveaux marchés porteurs ». Déjà très implanté en Europe, il compte faire passer le « marché international » (hors UE) de 38% à 60% de son activité.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion